L'Auberge du Vauclin,
où plongent mes racines maternelles,
restera dans la mémoire collective
comme havre de paix et siège de convivialité,
de mixité sociale.
Charles Glaudon en fut encore une fois le promoteur,
secondé d'abord par sa soeur Yvonne Bastol,
puis par son beau-frère Marie-Angélo Joseph,
dit Marilo, mon oncle et inspirateur,
qui en a fait L'Auberge des Alizés.
De part ses dons artistiques, sa forte personnalité,
à mi-chemin entre Hemingway et Castro,
et surtout son sens de l'hospitalité,
Marilo a su tirer parti de ce site sans égal,
d'architecture typiquement antillaise,
ouvert sur l'Atlantique et ses embruns
mais aussi à tous, à travers son bar,
et notamment aux pêcheurs
dont les yoles étaient tirées à ses pieds.
Une clientèle foyalaise et cosmopolite a
profité pendant des décennies de son accueil,
de la vue sur sa galerie à l'étage,
du souffle iodé de l'océan,
de l'alchimie particulière
qui s'en dégageait...
Mon frère Carl a repris le flambeau
au début des années 1990,
dans une conjoncture touristique difficile
après la disparition de nos amis canadiens:
l'auberge n'hébergeait plus que ses alizés,
et Marilo lui a transmis un snack tout neuf,
dont les soirées ragga bondées
puis les 'boeufs' tambour bel air
ont fait la renomée,
devenu donc le Don Carlo.
où plongent mes racines maternelles,
restera dans la mémoire collective
comme havre de paix et siège de convivialité,
de mixité sociale.
Charles Glaudon en fut encore une fois le promoteur,
secondé d'abord par sa soeur Yvonne Bastol,
puis par son beau-frère Marie-Angélo Joseph,
dit Marilo, mon oncle et inspirateur,
qui en a fait L'Auberge des Alizés.
De part ses dons artistiques, sa forte personnalité,
à mi-chemin entre Hemingway et Castro,
et surtout son sens de l'hospitalité,
Marilo a su tirer parti de ce site sans égal,
d'architecture typiquement antillaise,
ouvert sur l'Atlantique et ses embruns
mais aussi à tous, à travers son bar,
et notamment aux pêcheurs
dont les yoles étaient tirées à ses pieds.
Une clientèle foyalaise et cosmopolite a
profité pendant des décennies de son accueil,
de la vue sur sa galerie à l'étage,
du souffle iodé de l'océan,
de l'alchimie particulière
qui s'en dégageait...
Mon frère Carl a repris le flambeau
au début des années 1990,
dans une conjoncture touristique difficile
après la disparition de nos amis canadiens:
l'auberge n'hébergeait plus que ses alizés,
et Marilo lui a transmis un snack tout neuf,
dont les soirées ragga bondées
puis les 'boeufs' tambour bel air
ont fait la renomée,
devenu donc le Don Carlo.
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